Comment obtenir une telle chance…
Caro & Vad
Ô Mur Mitoyen ! Toi qui sépares deux destins, Ta froide pierre est vaine, elle échoue aux confins De l’âme où se tressent, sans serment ni mystère, Deux souffles qui s’accordent au gré de la lumière.
Car Caroline est là, sur l’autre pan du jour, Et Vadim est sa force, et leur lien son contour. Non point la fièvre ardente qui consume la vie, Mais l’Amour incorruptible, au temps jamais ravi. C’est une immensité dans l’ordinaire clos, Une amitié bâtie sur l’océan des flots.
